Angelina & Kevin love for ever
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Forum de fan fiction consacré à la love story d'Angelina Veneziano & Kevin Fisher des feux de l'amour
 
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 Alana et Shirel

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Angelina Fisher
Spectateur à un concert d'Angelina
Angelina Fisher


Messages : 559
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Age : 54
Localisation : Paris

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Vos couples preferés dans le soap: Kevin & Angelina. Nick & Sharon. Christine et Michael. Victoria & Billy. Victoria & Ryan.
Si vous etiez un personnage des fda quel serait il : Michael Baldwin ou Christine Blair

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MessageSujet: Alana et Shirel    Alana et Shirel  EmptyDim 10 Jan - 22:22


Abby dormait paisiblement dans sa chambre dans la maison léguée par sa sœur Colleen. Elle et son petit ami du moment avait passé une superbe soirée au club quand soudain elle fut troublée dans son sommeil par ce qui lui sembla être un rêve.
-         Abby. Abby.
Hum fit la jeune femme en se retournant dans son lit.
-         Abby, fit encore une voix qui semblait provenir des profondeurs de l’univers. Ouvre les yeux, Abby, tu ne dors pas.
-         Laissez-moi dormir, dit la jeune femme à la voix.
-         Je te laisserai dormir uniquement lorsque tu m’auras écouté. Je ne suis pas pressée, j’ai toute l’éternité devant moi.
Abby finit par ouvrir les yeux et découvrit avec effarement le visage de la jeune femme qui se tenait devant elle dans un arc.
Elle poussa un cri de terreur.
-         Qui êtes-vous et comment êtes-vous rentrée chez moi ?
-         Oh, Abby, ne me dit pas que tu ne me reconnais pas ? M’aurais tu déjà oublié ?
-         Qui êtes-vous et qu’est ce vous me voulez ?
-         Alors tu m’as oublié maintenant que tu es devenue une Newman ?
-         J’ai toujours été une Newman !
-         Il fut un temps où nous étions sœurs.
-         Vous n’êtes pas ma sœur : c’est Victoria ma sœur !
-         Alors parce que je suis morte et papa est mort nous ne comptons plus pour toi ? Tu as changé de nom et tirait un trait sur l’époque où tu t’appelais encore Abby Carlton ?   
Abby commençait à être troublé par ce visage qui lui rappelait tant sa sœur décédée mais elle ne voulut rien laisser paraitre.
-         J’appelle la police ! joignant le geste à la parole elle prit son portable et voulu composer le 911.
-         Cela ne servirait à rien ils ne peuvent pas me voir.
-         Comment ça ?
-         Je suis ta sœur. Ta sœur Colleen même si de toute évidence tu m’as oublié.
-         J’appelle la police !
-         Encore une fois cela ne servirait à rien puisque tu es la seule à pouvoir me voir.
-         Vous n’êtes pas Colleen : elle est morte !
-         C’est vrai je suis morte et c’est bien pour cela que je n’ai pas d’enveloppe corporelle.
Abby commença à être émue. Les larmes lui montèrent aux yeux.
-         Colleen ? C’est toi c’est bien toi.
-         Oui, Abby c’est bien moi.
-         Oh mon Dieu ! cela fait si longtemps ! Est-ce Brad est aussi avec toi ?
-         Il fut un temps pas si lointain pour moi mais qui pour toi doit te sembler à des années lumières où tu l’appelais encore papa.
-         Victor Newman est mon père.
-         Ton géniteur, oui je te l’accorde mais qu’à t’il fait pour toi en dehors de te couvrir de million de dollar ? Mais je ne suis pas venue ici pour discuter de ça. J’ai honte de toi, Abby !
-         Honte mais pourquoi ?
-         J’ai honte de ce que tu es devenue.
-         Pourquoi ? Je suis une fille très populaire sur les réseaux sociaux tout le monde m’adore : je suis l’héritière mise à nue. Toi aussi tu as dansé à moitié nue un soir chez Jimmy. De toute façon il y’a longtemps que je ne suis pas déshabillée en public.
-         Ce n’est pas la raison de ma présence ici.
-         Ah non ? Alors qu’elle est -elle ?
-         Angelina !
-         Angelina ?
-         Une chose est sure ton audition est parfaitement limpide. Oui j’ai bien dit : Angelina.
-         Angelina Veneziano ?
-         C’est Angelina Fisher maintenant : Abby c’est la femme de Kevin : mon meilleur ami sur cette Terre. Elle est enceinte et risque de perdre la vie en mettant au monde ses enfants et toi tu as en ta possession certaines informations qui pourrait la laver de tout soupons et ceux qu’elle vive ou qu’elle meurt mais tu te tais en prêtant main forte à une snobinarde avec qui tu es soudainement devenue amie. Sans parler de ton association avec Adam Newman.
-         Adam est mon frère.
-         Alors tu lui as pardonné ce qu’il a fait à ta mère ? La perte de ta petite sœur ? C’est ton droit mais envoyer une innocente en prison cela ne l’est pas.
-         Je t’en prie Angelina n’est pas une innocente victime : elle a volé Kevin à Chloe je te signale.
-         C’est du passé et elle a payé pour ce qu’elle a fait : elle payé même très cher et Kevin lui a pardonné. Il est fou amoureux d’elle et risque de la perdre : ses enfants risquent de ne jamais la connaitre.
-         Que veux-tu qui j’y fasse je ne suis pas médecin.
-         Non mais tu peux toujours dire la vérité. 
-         De quoi est-ce tu parles ?
-         Ne joue pas l’innocente avec moi, Abby cela ne fonctionne pas. Tu sais parfaitement de quoi je veux parler : Angelina n’a jamais enlevé notre nièce !
-         Delia a besoin de Kevin et Chloe aussi.
-         Et Kevin a besoin de sa femme et de ses filles.
-         Admettant. A quoi bon dire la vérité maintenant puisque Angelina va mourir ?
-         Nous ignorons encore si elle va vivre ou mourir.
-         Nath est formel : elle n’a aucune chance !
-         Nath ? Je ne te savais pas si intime du docteur Hasting.
-         Colleen, je t’aime, tu es ma sœur et je t’aimerai toujours mais j’ai continué de grandir depuis ta mort et aujourd’hui je suis une femme bien vivante qui a des besoin et Nath est un homme irrésistible et comme tout homme il a des besoins lui aussi. Son seul défaut : il ne tient pas du tout l’alcool alors après deux petits verres de vin de rien du tout il s’est laissé aller à quelques confidences sous l’oreiller. Confidence que le lendemain matin il ne se rappelait naturellement pas m’avoir confié.  Ainsi je sais qu’Angelina ne survivra pas.
-         Sauf que Nath n’est pas Dieu, Abby. Seul Dieu sait qui vivra et qui mourra et de toute manière même si le pire venait à se produire il n’y aucune raison pour que toute la ville pense qu’elle était coupable d’une telle ignominie. Elle a le droit d’être lavée de tout soupçon. Grandi un peu, Abby. Tu cherches à tirer vengeance d’une bagatelle et de plus tu sais bien pourquoi elle n’est pas venue. Toi et Chloe avaient voulu lui tendre un piege.
-         Carmine est un gentil garçon.
-         C’est possible mais elle aime Kevin et aujourd’hui ils sont mariés et vont avoir des enfants. Abby, tu peux blanchir une innocente alors prend la bonne décision. Je vais m’en aller maintenant : j’ai encore pas mal de monde à voir cette nuit.
-         Non, Colleen attend !
Mais Colleen disparue comme elle était venue.
La chapelle de l’hôpital où se trouvait Kevin se trouva soudainement éclairé par une lumière à la fois magnifique et paisible. Kevin qui n’avait jamais autant prié de toute sa vie regarda cette lumière qui semblait venir d’un autre monde et là il vit…Jana : son ex et défunte épouse.
-         Jana ?
-         Oui, Kevin c’est bien moi.
-         Mais qu’est ce tu fais ici ?
-         Je suis venue parce que tu as besoin de moi.
-         Je n’ai pas utilisé l’Ouija. Il y’a des années que je ne l’utilise plus.
-         Depuis ta relation avec Chloe oui je sais.
-         Je ne suis plus avec Chloe. Elle et moi c’est bel et bien terminé.
-         Je suis au courant et j’en suis soulagée pour toi. Chloe ne te méritait pas.
-         Tu es au courant ?
-         Oui, tout comme je le suis de ton mariage avec Angelina ? Oui je suis au courant. Je sais à quel point tu l’aimes et à quel point elle t’aime.
Kevin la regarda.
-         Quoi tu es surpris de constater que je connaisse l’intensité de tes sentiments pour elle ? Kevin tu as parcouru près de la moitié du pays pour aller la retrouver et avant cela tu l’as protégé lorsque Chloe et Abby ont voulu lui tendre un piège. Tu as sombré dans l’alcool lorsque tu as cru qu’elle t’avait quitté et ensuite tu t’es battu pour être avec elle au grand dam de ton frère et ta mère ainsi que tous tes amis. Tu n’as jamais fait tout ça après mon enlèvement lorsque je suis tombée amoureuse de Ryder. Tu avais tourné la page en te mettant avec Chloe. Alors oui je sais que tu l’aimes comme tu n’as jamais aimé et j’en suis heureuse pour toi. 
-         Mais je risque de la perdre lorsqu’elle mettra au monde nos enfants. Je ne sais pas comment vivre sans elle.
-         Garde espoir, Kevin.
Jana disparu.
-         Jana ? Jana attend que veux-tu dire ? Jana revient !
Jana disparu mais la porte d’entrée de la chapelle s’ouvrit laissant apparaitre le Dr Hasting.
-         Kevin !
Kevin se retourna et son visage devint encore plus grave. L’opération s’est bien passée. Vos jumelles sont saines et sauve. Elles ont été transportées à la nursery de prématuré mais rassurez-vous elles vont bien.
-         Quand pourrais-je les voir ?
-         Tout de suite si vous voulez.
-         Et ma femme ? Comment va Angelina ?
-         Comme je le prévoyais Angelina a beaucoup souffert durant l’accouchement. Son cœur s’est arrêté. Le massage cardiaque n’a pas réussi à la réanimer. L’électroencéphalogramme était plat.
Kevin sentit le sol se dérober sous ses pas. Angelina, son Angelina : l’amour de sa vie n’était plus là. Plus jamais il n’entendrait le son de sa voix si particulière qu’il aimait tant, plus jamais il ne mettrait sa main dans ses cheveux, plus jamais il ne sentirait l’odeur de ses parfums préférés, plus jamais il ne l’entendrait chanter à capela rien que pour lui. Plus jamais elle ne rendrait complètement fou en mettant plus d’une heure à se décider entre deux tenues. Plus jamais. Non plus jamais. Mais plus encore jamais elle ne connaitrait ses deux petites filles. Angelina n’était plus là.
-         Quelques minutes, reprit le Dr Hasting ; avant de revenir à elle.
Kevin leva les yeux vers le Dr Hasting.
-         Pardon ?
Le docteur Hasting sourit.
-         Vous avez bien entendu. Votre femme est revenue à elle. L’électroencéphalogramme est demeuré plat pendant plusieurs minutes. Nous nous apprêtions à déclarer l’heure du décès lorsqu’elle est revenue à elle comme par miracle.
-         An…Ange…Angelina est en vie ?
-         Oui. Votre femme est bien vivante.
-         Ma femme et mes filles vont bien ?
-         Elles vont toute trois parfaitement bien. Le pronostic vital d’Angelina n’est plus engagé. Je dois vous dire que ce qui s’est passé dans ce bloc opératoire aujourd’hui relève non pas de la médecine moderne mais d’un véritable miracle.
-         Ou est ma femme ? Je veux la voir et voir nos filles.
-         Les brancardiers ont dû la remonter dans sa chambre à l’heure qui il est si vous voulez je peux demander à ce que l’on vous emmène vos filles dans la chambre de votre femme. J’aimerais mieux qu’elle ne se déplace pas dans les deux-trois premiers jours ou du moins le moins possible. Elle risquerait d’être atteinte de vertiges.
-         Mais vous venez de me dire qu’elle allait bien.
-         Et c’est le cas rassurez-vous. Angelina va bien mais elle a subi un lourd traumatisme. La science moderne n’est pas encore en mesure d’expliquer ce qui s’est produit.
-         Ne le prenez pas mal, Dr Hasting mais je me fiche bien de savoir si la science l’explique ou non. Tout ce qui m’importe est que ma femme et mes bébés se portent bien.
 
***
 
Kevin se rendit à la nursery. Il était convaincu qu’Angelina lui demanderait des détails sur leur filles en attendant de pouvoir les tenir elle-même dans ses bas. Quant à lui il ne savait plus où il en était. Il avait à la fois envie de voir ses enfants mais aussi de serrer sa femme dans ses bras. Il commença donc par les enfants. En les voyant si petite il fut pris d’une tendresse infinie et voulu immédiatement les protéger. L’infirmière lui remit ses deux filles dans les bras. Les deux fillettes ressemblaient comme deux goutte d’eau à leurs parents.
-         Coucou, mes chéries, c’est papa. C’est fou comme vous ressemblez à votre maman : aussi jolie qu’elle.
L’une d’entre elle se mit à pleurer et Kevin fit ainsi connaissance de la voix d’une de ses filles.
-         Bientôt mes chéries nous rentrerons tous les quatre à la maison : vous deux, maman et moi et rien n’y personne ne nous empêchera d’être heureux. Je ne laisserai jamais qui que ce vous enlever votre maman.
 
 
****
 
 
Quelques minutes plus tard Kevin se rendit dans la chambre de sa femme. Celle-ci dormait encore. Kevin prit place auprès de son lit et teint une de ses mains dans les siennes et l’embrassa avant de regarder Angelina dormir.
Angelina finit par se réveiller.
-         Kevin, dit-elle en premier mot.
-         Je suis là, ma puce.
-         Ou suis-je ?
-         Tu es toujours à l’hôpital, mon amour où tu viens de donner naissance à nos filles, dit-il d’une voix très douce.
-         Nos filles sont nées ?
-         Oui, mon amour, elles sont nées.
-         Où sont-elles ? Je veux les voir !
Kevin saisit le téléphone et appela la nursery.
-         Vous voulez bien monter les bébés Fisher à la chambre 8.
Angelina sourit. D’un sourire qui ressemblait plus à une grimace étant donné la douleur encore présente mais qui parut à Kevin un sourire radieux tant il était heureux d’être là auprès d’elle.
-         Est-ce tu as vu nos filles ? Comment sont-elles ?
-         Elles sont magnifiques. Aussi belle l’une que l’autre exactement comme leur maman.
Angelina réussi à donner à son mari un faible sourire qui malgré tout en disait long sur l’amour qu’elle lui portait.
-         Je t’ai entendu, mon amour.
-         Quoi ?
-         Je suis morte pendant plusieurs minutes et là je t’ai entendu m’appeler alors je me battue pour revenir à moi. Je ne voulais pas, je ne pouvais te laisser seul. Je t’aime, Kevin et il y’a tellement de chose que j’ai envie de partager avec toi. Avec toi avec nos enfants. C’était trop tôt je ne pouvais, je ne voulais pas m’en aller : pas maintenant.
Kevin sentit les larmes lui monter aux yeux. Il se pencha sur Angelina et déposa un long baiser sur ses lèvres.
-         J’ai tellement prié, hurler même devrais-je dire après Dieu pour qu’il te laisse en vie. Je n’imaginais pas ma vie sans toi. Je t’aime tellement.
-         Je t’aime moi aussi.
Ils s’embrassèrent derechef lorsque l’infirmière rentra avec les berceaux. Une lueur de joie traversa les yeux d’Angelina.
Kevin prit ses filles l’une après l’autre et les déposa dans les bras d’Angelina.
-         Et voilà, maman.
-         Coucou, mes chéries, c’est maman. Kevin, elles sont magnifiques.
-         Cela va de soi puisqu’elles te ressemblent.
-         Tu veux dire qu’elles nous ressemblent.
-         C’est vrai, elles nous ressemblent.
-         Regarde celle-ci elle a ton nez.
-         Et celle-ci a ton front.
-         Kevin, mon amour, elles sont tellement belles. Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau.
-         Moi si. Leur maman. Leur maman est la plus belle chose qu’il m’est était donné de voir.
Angelina lui sourit et posa ses lèvres sur celles de Kevin.
-         Mon amour j’ai eu si peur te perdre. Je ne sais pas comment j’aurais fait avec nos filles si je t’avais perdue. Il y’a une chose qui est certaine en tout cas : je ne me serais jamais remarié si le pire se serait produit. Je n’aurais pas pu. Je t’aime, Angelina. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé.
-         Je t’aime aussi, mon amour. Plus que les mots peuvent le dire.
Ils s’embrassèrent lorsqu’une des filles se mit à pleurer. Ils regardèrent leur fille et se mirent à rire.
-         Tu as faim on dirait.
-         Je vais appeler l’infirmière pour qu’elle vienne la chercher.
-         Non, chéri attend. J’aimerais tellement lui donner le biberon.
-         Chérie, je ne suis pas certain que ce soit une bonne chose : tu es encore en convalescence.
-         Mon amour si je me suis battue s’était pour vous : toi et les filles. Je ne saurais t’expliquer ce que je ressens en les voyant. Je n’ai jamais ressenti une telle sorte d’amour.
Kevin sourit.
-         Détrompe-toi, mon amour, je comprends ce que tu ressens : je ressens la même chose.
Comme la petite pleurait toujours et la seconde suivit Kevin appela la nursery afin que l’on leur monte des biberons.
L’une d’elle semblait avoir plus de voix que sa sœur. L’infirmière monta les biberons.
-         Md Fisher, en ma qualité d’infirmière je ne saurais que trop vous recommander de vous reposer et de laisser le personnel hospitalier s’occupait de vos enfants.
-         Merci, mais je suis leur mère et vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’ai rêvé de ce moment.
-         Très bien mais je vous recommande de ne pas vous lever pour le moment. C’est vous Mr Fisher qui aurait le privilège d’assister au bain.
L’infirmière disparu.
Kevin prit une des filles et lui donna le biberon pendant qu’Angelina prenait soin de l’autre petite fille.
Après que les petites eurent fini de manger et fait leur rot Kevin les redonna à sa femme.
-         Angelina, mon amour, nous avons un problème.
-         Je ne vois quel problème, dit-elle en souriant en regardant ses deux petites filles.
-         Il va falloir leur donner un prénom. Nous ne pouvons continuer encore longtemps à les appeler bébé 1 et bébé 2.
-         Tu as raison et je pense à quelque chose. Kevin que dirais tu si nous appelions une de nos filles Delia ? Peut-être si la petite apprenait que nous avons appelé une de nos filles comme elle, elle se sentirait moins exclue et serait qu’elle a toujours sa place dans ta vie même si les choses ne sont plus comme avant entre toi et sa mère.
-         Non, chérie, non. Tu es merveilleuse d’y avoir songer mais Deliah ne comprend pas. Elle est manipulée par Chloe et attend de me voir refaire ma vie avec sa mère. De plus je n’arrive pas à lui pardonner le mal qu’elle t’a fait.
-         Chéri, ce n’est qu’une enfant.
-         Une enfant qui t’a piégé.
-         Très bien oublions Delia si tu n’es pas d’accord. Que dis-tu alors de Jana ? Je sais à quel point tu l’as aimé.
-         Je l’ai aimé c’est vrai mais mon amour pour elle n’avait rien à voir avec ce que j’éprouve pour toi. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé et elle le sait.
-         Elle le sait ? Tu as utilisé l’Ouija ?
-         Non en fait elle est apparue à moi alors que j’étais à l’église. Chérie ce que j’aimerais pour nos filles se sont des prénoms qui nous plairait à tous les deux ou qui aurait un rapport avec notre histoire mais aucun lien ni avec mon passé ni le tien. Tu es mon présent et mon futur. Je t’aime.
-         Je t’aime moi aussi.
Ils échangèrent un baiser pour la première fois de leur vie en présence de leurs filles. Angelina posa ses yeux sur les jumelles qui dormaient.
-         Veut tu les reposer dans leurs berceaux ?
-         Non, Kevin, non. Laisse-moi profiter un peu de nos filles. J’ai cru ne jamais les connaitre.
Kevin sourit tout en s’asseyant sur le lit d’Angelina.
-         C’est du passé, mon amour, n’y pense plus. Tu vas bien et tu vas aller de mieux en mieux et toi, nos jumelles et moi allons avoir une vie merveilleuse.
-         Elle serait encore plus merveilleuse si nous arrivions à nous mettre d’accord sur des prénoms, dit-elle en souriant.
Kevin rit.
-         J’aurais bien une idée pour cette jeune demoiselle, dit-il en en prenant une de ses filles dans ses bras. Que pense tu de Shirel ? Un chant vers Dieu. C’est exactement ce que je ressens lorsque je l’entends pleurer. Je n’entends pas des pleurs mais un chant : un chant qui a permis à sa maman de rester en vie et c’est aussi grâce au chant que notre histoire a commencé.
Angelina sourit.
-         Shirel : Shirel Fisher. Ça sonne bien. Ça sonne même très bien.
Kevin sourit et embrassa sa fille.
-         Bienvenue au monde, Mlle Shirel Fisher. Ton papa et ta maman t’aime déjà très fort.
-         Quant à moi j’ai pensé à Alana.
-         Alana ? Comme l’héroïne du roman dont tu m’avais parlé lors de notre première escapade aux chutes du Niagara.
-         Tu t’en souviens ? dit Angelina surprise.
-         Chérie, je n’ai absolument rien oublié et je suis d’accord : Alana ira très bien à notre seconde fille. Alana Fisher. Ça sonne plutôt bien.
-         Encore mieux que bien.
-         Shirel et Alana Fisher. Kevin regarda sa femme avec des yeux enamourés. Merci, mon amour. Merci de tout ce que tu m’apporte chaque jour, merci pour cette famille. Merci d’être celle que tu es.
-         Je t’aime, Kevin. Je t’ai toujours aimé même lorsque je pensais ne jamais te revoir je n’ai jamais cessé de t’aimer.
Faisant très attention à leurs filles ils réussirent à échanger un baiser.
 
Quelques heures plus tard.
-         Je ferai mieux d’aller parler à ton père. Le malheureux doit être fou d’inquiétude.
-         C’est vrai papa : je l’avais presque oublié. J’avais besoin de partager ces moments avec nos filles avec toi et rien que toi. C’est égoïste je sais mais j’en avais besoin.
-         Ce n’est pas égoïste. Moi aussi j’avais besoin de ces instants partagés rien qu’entre nous.
 
A la cafeteria Angelo s’impatientait et son inquiétude grandissait.
-         Que se passe-t-il à votre avis ? Pourquoi le Dr Hasting nous donne t’il aucune nouvelle et où est passé Kevin ?
-         Il est peut-être encore à la chapelle, suggéra Caroline.
-         J’y suis allé tantôt mais je n’y ai vu personne, dit JT.
-         Personne ? C’est curieux en effet.
-         Tenez voilà Kevin, dit Mack.  
-         Kevin, mon garçon où étais tu passé ? Comment vont ma Princesse et les petites as-tu des nouvelles ?
Kevin prit un visage grave.
-         Les jumelles sont nées et elles vont bien.
-         Merci mon Dieu au moins pour ça. Et ma Princesse ? Kevin comment va ma fille ?
-         A l’accouchement Angelina a perdu beaucoup de sang. Elle a fait un arrêt cardiaque. Les médecins ont tout fait pour la réanimer mais en vain.
Angelo tenta tant bien que mal d’assumer le coup.
-         De toute façon ma Princesse le savait. Elle savait qu’elle ne survivrait pas à l’accouchement mais elle a donné sa vie pour ses filles.
-         Angelo, je suis vraiment désolé dit Thomas en lui donnant une accolade.
-         Et toi ça va ? Tu tiens le coup, demanda Mack à son ami.
-         Je vais bien oui.
-         Tu m’as l’air étrangement calme pour un homme qui vient de perdre sa femme. Rien à voir avec ton attitude ces derniers jours.
Caroline le jaugea.
-         C’est vrai JT a raison tu sembles bien calme.
-         Il n’a pas le choix. Princesse savait ce qu’elle faisait : elle est morte en donnant la vie aux enfants de Kevin. L’homme qu’elle a toujours aimé.
-         Et qu’il l’aime lui aussi et l’aimera toujours.
-         Angelina fera toujours partie de ta vie grâce à vos filles.
-         Oui Angelina fera toujours partie de ma vie pas simplement parce que c’est la mère de mes enfants mais c’est avant tout la femme que j’aime et avec laquelle je veux passer le reste de mon existence.
-         Quoi ? Kevin…
-         Je sais à quoi tu penses, Mack mais ce n’est pas le cas. Je ne suis pas en train de devenir fou. Je vais bien. Je vais même très bien. J’ai dit que le massage cardiaque n’avait pas réussi à réanimer Angelina mais je n’ai pas dit qu’elle était morte.
-         Kevin, de quoi tu parles ? Je comprends que le choc soit dur à encaisser mais ressaisit toi, mon vieux, tes filles vont avoir besoin de toi.
-         Oui, Thomas je le sais : mes filles vont avoir besoin de leur père mais elles ont aussi besoin de leur mère et Angelina et moi avons bien l’intention d’être toujours là pour elles.
-         Kevin, aussi difficile soit il à vivre, Angelina est morte. Tu dois l’accepter et penser à tes bébés.
-         JT a raison. Princesse est morte et aussi fort fut notre amour pour elle nous devons accepter ce fait et se dire que c’était sa volonté de mourir pour mettre au monde vos enfants.
-         Non, Angelo, vous vous trompez : Angelina voulait vivre et voir grandir ses enfants et c’est ce qu’elle fera. Angelo, Caroline, Thomas, Mack, JT : Angelina n’est pas morte elle est en vie et elle va bien.
-         Kevin, mon garçon, ne dit pas des choses pareilles. C’est dur de perdre celle que l’on aime je le sais pour l’avoir vécu ça avec la mère d’Angelina mais on apprend à vivre avec et continuer à avancer parce que on n’a pas le choix et parce que on a de jeunes enfants qui compte sur nous. S’il te plait, ressaisit toi. Pour tes filles et pour toi et aussi pour Angelina qui t’aimait tant.
-         Angelo, pour la centième fois je vais bien ! Si vous me laissiez finir peut-être comprendrez-vous !
Kevin commençait à fulminer.
-         Il s’est produit un miracle. Au moment où les médecins s’apprêtaient à déclarer l’heure du décès Angelina est revenue à elle.
-         Pardon ? Comment est-ce possible ?
-         J’n’en sais rien, Mack, la science ne l’explique pas.
-         Alors c’est un miracle.
-         Oui, Caroline, c’est un véritable miracle. Grace à Dieu Angelina est vivante et elle va aller de mieux en mieux !
-         Ma… ma Princesse est vivante, bégaya Angelo.
-         Oui, Angelo, Angelina est en vie et elle vous attend.
Angelo entra en trombe dans la chambre de sa fille suivie de près par les autres. Personne ne remarqua la présence de Chloe cachait derrière un poteau.
Angelina dormait lorsque son père entra dans la chambre.
-         Princesse !
Elle sourit en ouvrant les yeux.
-         Papa !
-         Alors c’est donc vrai : tu es bien vivante. Kevin ne mentait pas.
-         Je n’aurais jamais pu mentir sur un sujet pareil.
-         J’ai souvent vu des trucs dingue dans ma vie en particulier depuis que je dirige ma fondation mais celle-ci dépasse tout. Je suis si heureuse pour toi. Pour toi et pour Kevin bien sûr.
-         Merci, Caroline.
-         Ne nous refait plus jamais un truc pareil compris, dit-elle sur ce ton plaisantin qui lui était propre. Caroline Spencer Forrester n’accepte pas qu’on lui donne des crises cardiaques.
Tout le monde se mit à rire.
Angelina regarda Kevin.
-         Chéri, tu veux bien ?
Kevin prit une de ses filles dans les bras et la tendit à Angelina avant d’en faire de même avec la seconde.
-         Kevin et moi aimerions vous présenter à tous Alana et Shirel Fisher !
-         Angelina, Kevin, elles sont splendides !
-         Merci, Caroline.
-         Papa, tu ne dis rien. Tu n’es donc pas heureux d’être grand père ?
Kevin jaugea son beau-père.
-         Angelo, vous voulez prendre vos petites filles dans les bras, grand père ? joignant le geste à la parole, Kevin reprit une des jumelles des bras d’Angelina pour la mettre dans ceux d’Angelo.
Alana voici ton grand père Angelo.
Pour la première fois de sa vie Angelo se laissa aller à l’émotion lorsque Kevin lui déposa également Shirel.
-         Elles sont trop mignonnes, dit Caroline quelques heures plus tard en regardant les petites dormir dans leur berceau.
-         Qu’est ce vous attendez Thomas et toi pour faire un ? Ainsi nos jumelles pourront jouer avec le vôtre puisqu’ils auront le même âge.
-         Oui peut être à la condition que Kevin et toi vous installiez à Los Angeles.
Ni l’un ni l’autre ne répondit.
-         Kevin, Angelina, Mack et moi allons devoir repartir pour Washington. L’été touche à sa fin et nous, Reed et Dylan vont devoir reprendre l’école et nous le travail.
-         Kevin, j’ai été contente de te revoir. Angelina et toi allez être de super parents. Venez nous voir un de ces jours à Washington.
-         Merci, Mack. Pour le moment Angelina est toujours en convalescence et les filles viennent de naitre. J’ai été content de te revoir et merci d’avoir était présente à mes côtés dans ce qui fut le pire moment de ma vie.
-         Je suis contente d’avoir été là. Angelina, rétablit toi vite.
-         Merci, Mack.
JT et Mack s’en allèrent.
-         Nous aussi nous allons devoir rentrés. Notre travail ici est terminé. Kevin et toi êtes les heureux parents de ces deux magnifiques petites filles et toi tu vas te rétablir très vite maintenant.
-         Vous nous manquerez.
-         Il y’a une solution : venez habiter à LA, dit Caroline sur un ton qui se voulait taquin mais qui au fond traduisait le fond de sa pensée.
-         Nous verrons. Dans l’immédiat notre priorité est qu’Angelina se rétablisse au plus vite.
-         Tu sais il y’a d’excellents hôpitaux et médecins à Los Angeles. D’ailleurs ma tante Bridget est un super obstétricien.
-         Thomas, tu sais très bien que c’est un au revoir. Pas un adieu. Et nous allons nous revoir plus vite que vous ne l’imaginez Caroline et toi. Kevin et moi avons longuement discuté et nous en sommes arrivés à la conclusion de vouloir faire baptiser nos filles au plus vite afin de remercier Dieu pour ses miracles. A ce sujet nous avons un dernier service à vous demander : Thomas, Caroline accepteriez-vous d’être les parrains et marraines de Shirel & Alana ? 
-         Un service ? vous appelez ça un service ?
Angelina fit son petit mouvement de la tête qui lui était propre.
-         Dois-t-on comprendre que vous acceptez, dit Kevin moqueur.
-         Oh toi, tu mériterais que je t’étrangle surtout après le coup que tu nous as fait tantôt.
Kevin rit en serrant son amie dans ses bras.
 
Quelques heures plus tard tout le monde était parti. Mack et JT étaient en route pour Washington, Caroline et Thomas pour Los Angeles, quant à Angelo il avait regagné sa suite au club. Kevin et Angelina étaient seuls. L’infirmière avait raccompagné les bébés à la nursery.
-         Maintenant que nous sommes seuls, je voulais t’offrir ça.
Kevin tendit un écrin à sa femme.
-         Kevin, mon amour, tu n’aurais pas dû : pas maintenant dans notre situation.
-         C’est trois fois rien, chérie et j’avais très envie de faire un cadeau à la mère de mes enfants. Ma femme : l’amour de ma vie.
Angelina sourit avant d’ouvrir l’écrin.
-         Oh Kevin : c’est magnifique !
A l’intérieur se trouvait une chaine en argent assortit de pendentif enfant en argent massif.
-         Je suis content qu’il te plaise. Il ne restera plus qu’à faire graver les prénoms de nos filles et tu sais ce qu’il y’a de bien avec cette chaine ? A chaque naissance nous pourrons ajouter un pendentif.
Angelina sentit les larmes lui montaient aux yeux.
-         Kevin, je t’aime.
-         Moi aussi je t’aime.
Kevin se pencha vers elle et l’embrassa.
-         Il me tarde de pouvoir rentrer à la maison avec elles. Pouvoir les changer, leur donner à manger, leur donner la douche… toutes ces petites choses si simples que font toutes les mamans du monde mais pour le moment je suis incapable à cause de tous ces fils.
-         Patience, mon amour, tu y arriveras.
-         Oui, si je ne finis pas ma vie en prison avant ça.
-         Angelina, je n’aime pas t’entendre parler comme ça ! Tu n’as rien fait de mal pourquoi irais tu en prison ?
-         Ou en est le procès tu es au courant ? Est-ce Michael a laissé tomber les charges qui pèsent contre moi ?
-         J’n’en sais rien. J’ignore où en est la contre-enquête et je n’ai pas revu ce traitre de Michael depuis ton hospitalisation.
-         Kevin, chéri, je n’aime pas t’entendre parler ainsi de ton frère.
-         Michael n’est plus mon frère après tout le mal qu’il t’a fait.
Angelina soupira.
-         J’aurais tant aimé que les choses se passent différemment. Nos enfants auraient ainsi eu la vie que ni toi ni moi n’avons connu. Une famille avec des oncles, des tantes, des grands parents… j’avais papa mais je n’ai jamais eu de grands parents. Ils sont morts bien avant ma venue au monde et ma mère est morte en mettant au monde. Mais je n’ai pas à me plaindre parce que j’avais papa, mais toi, toi, mon amour, ta vie fut pire que la mienne. Ton père était un monstre et Gloria ne fut pas une vraie mère pour toi et la seule personne qui pouvait t’aider s’était enfuie.
-         Chérie, nos filles nous aurons nous. Nous leurs parents. Tu es vivante et je suis fou amoureux de toi et je te fais la promesse de ne jamais, jamais ne lever la main sur aucune de nos filles même si elles faisaient une énorme bêtise.
-         Tu n’as pas besoin de me dire ce que je sais déjà.
Ils s’embrassèrent.
Angelina regarda la place où se trouvait les berceaux il y a encore quelques heures.
-         Si je te faisais une confidence promets tu de ne pas te moquer ?
-         Parole de scout !
-         Tu n’as jamais été scout, dit-elle en riant. Kevin, ce que je vais dire te paraitra probablement idiot mais nos filles me manquent déjà. J’aurais aimé pouvoir les garder avec moi toute la nuit mais le règlement ne l’autorise pas.
-         Cela n’a rien d’idiot. Ma chérie, tu es une mère et il est naturel que tu es envie d’avoir tes enfants avec toi. Elles me manquent aussi. Mais bientôt très bientôt nous rentrerons à la maison tous les quatre et plus rien ni personne ne séparera jamais. Jamais plus.
Kevin se pencha sur Angelina et l’embrassa.
-         Grace à ton père les travaux de la nursery sont enfin terminés.
Angelina prit la main de Kevin dans la sienne.
-         Et toi, toi, mon amour ? Comment vas-tu dans tout ça ?
-         Moi ? je vais très bien.
-         Tu mens très mal. Dis-moi depuis quand n’as-tu pas fait une nuit complète ? Quand as tu fais un vrai repas pour la dernière fois ?
-         Je n’en sais rien. Je m’en souviens plus. La seule chose qui m’importait c’était toi. Toi ma chérie. J’avais une peur panique de te perdre. C’était pire, mille fois, dix mille, un million, un milliard, tu peux multiplier cela à la puissance que tu voudras, pire que lorsque Tom le terrible m’enfermait dans un placard.
Angelina réussit à se redresser et serra son mari dans ses bras qui finit par craquer en éclatant en sanglot sur l’épaule d’Angelina.
-         C’est fini maintenant. Je vais bien et les enfants aussi. Ce cauchemar est enfin derrière nous. Toi, Shirel, Alana et moi allons bientôt rentrer à la maison et rien n’y personne nous empêchera d’être enfin heureux.
 
Ils s’embrassèrent amoureusement. Ni l’un ni l’autre ne remarqua la présence de Chloe qui les regardait derrière la vitre d’un œil mauvais.
 
 
 
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